Salon du Livre de Marquette en OstrevantMon ami Pierre Zylawski, dubitatif ...
Oui, je sais, on va dire : "C'est des bénévoles qui font c'qu'ils peuvent". Ils tentent d'apporter un peu de culture dans un désert intellectuel. Moi, je veux bien entendre ces litanies habituelles, cependant, je maintiens qu'un minimum de respect est dû aux auteurs.
Oh, certes, on est aimable, mais cette courtoisie n'efface pas l'incurie. Devra-t-on encore une fois répéter que l'on ne doit pas se lancer dans l'organisation d'un salon sans un minimum de moyens, de repères et de connaissance des obligations.
- Absence totale de fléchage du salon.
- Absence totale de communication.
- Apéritif d'accueil prévu, mais payant !
- Très frugale restauration prévue, mais payante !
Explication m'est fournie par l'une des responsable : le produit du bar est reversé à une association caritative. J'ai fait remarquer à cette brave dame qu'on ne mélange pas les genres. Les auteurs invités ignoraient qu'ils devaient mettre la main à la poche sans avoir été consultés ! Cette même brave dame m'a avoué sans honte ne s'être jamais rendue dans un salon du livre et d'en ignorer le fonctionnement ! On croit rêver !
De grâce, ne répétez pas l'an prochain une telle improvisation ! Ou alors, sans moi.
Ajouter un commentaire