Ombre de Dieu, Apothicaire, Rivière d'or, Libertas, Mépris

 

Couv riviere or Mep couv mepris Mep couv apothicaire 1 1ere couv ombre de dieu 1re couv libertas

 

Je vous donne un grand et profond merci pour l'envoi de votre ouvrage
"De Silence et d'Ombre", ouvrage qui je le souhaite sortira justement
de l'ombre et fera un jour grand bruit. Je ne doute pas un instant
éprouver à sa lecture autant de bonheur que j'en ai eu au fil des pages
de "L'apothicaire de la rue de Grenelle", pages dans lesquelles, grâce à
vous, j'ai tant appris.
Vos personnages y sont superbement campés, l'ambiance nous happe et nous
promène dans cette époque, l'Histoire nous montre que les manigances
dans l'intérêt des plus puissants n'a guère évolué jusqu'à notre siècle,
et qu'il sera toujours des hommes pour en écraser d'autres. Oui, très
sincèrement, j'ai adoré.
Ainsi que je vous l'ai signalé, j'ai une prédilection pour les "romans
historiques", et plus encore pour ceux qui traitent de l'époque
médiévale. Plus jeune, je me suis évadée avec les personnages de La
Chambre des dames, de Jeanne Bourin, mais aussi avec tous les ouvrages
de Juliette Benzoni, ceux d'Anne et Serge Golon (Angélique)… pour ne
citer que les plus célèbres. J'en suis certaine, au su de votre
écriture, de votre connaissance par vos recherche, voici un ouvrage que
je ne vais pas "lâcher".

Nathalie, directrice littéraire de « Encres Vives »

 

Dixie39   20 avril 2015

L'ombre de Dieu

 

Ce livre est un régal pour qui aime le moyen âge et se délecte de flâner au sein de cet univers où s'égrainent des mots d'un vieux français dont les sonorités et la poésie sont une douceur autant pour l'oreille que pour l'esprit. C'est à une intrusion dans ce monde du XI ième siècle que nous convie Jean-François Zimmermann. le récit qu'il nous livre, ce sont les mémoires de Thibault, ce jeune garçon de basse condition qui vivra un destin hors du commun. Doté d'une soif d'apprendre et d'une mémoire extraordinaire, le monde du savoir s'ouvre à lui grâce à Jean, moine défroqué qui le prendra sous son aile et fera, enfant, son éducation. Par jalousie et incompréhension, le propre père de Thibault concourt à la mise à mort de ce précepteur attentionné. Par dépit autant que défi, le jeune garçon, futur moine et scribe, parcourra les chemins et ira à la rencontre des grands évènements de son siècle :
- la scission au sein de l'église catholique entre les partisans d'une église "établie" et prospère vouée à s'enrichir et ceux qui oeuvrent pour un retour aux sources par l'observance stricte des règles de Saint Benoit
- la transmission et la préservation des savoirs et des écritures saintes par le prêt et la copie des précieux livres qui circulent d'abbayes en églises sur les routes de France toutes aussi peu sûres les unes que les autres. Chargement précieux, attisant les convoitises ...
- l'appel aux croisades qui emmena une foule hétéroclite composée autant de chevaliers aguerris et de moines novices, que de femmes et d'enfants, accompagnateurs aussi incongrus qu'encombrant sur le chemin qui mène à l'orient et à la guerre sainte.
- ...
Mais le plus plaisant est encore cette galerie de personnages qui vient étayer, de façon très naturelle, ce récit et qui nous fait découvrir, non seulement leur implication dans l'histoire qui se joue devant nous, la vraie, celle avec un grand H, mais aussi différents métiers et différentes "classes sociales" en ces temps souvent méconnus quand ils ne sont pas tout simplement oubliés. Ici les paysans et marchands, les nobles et chevaliers, là les vignerons et la spécificité de la taille des vignes et l'optimisation des rendements, en passant par les moines et leurs vies et "missions" rythmés par les messes et prières aux différentes heures du jour et de la nuit...
J'ai adoré aussi retrouver des lieux arpentés et des bâtiments connus et le destin de ces hommes et femmes qui ont participé à la construction de ce moyen âge que j'affectionne.
Bon, je pourrais encore développer longtemps ainsi mais je voudrais d'une, vous laisser le plaisir de la découverte et de deux, et surtout, faire naître en vous l'envie d'ouvrir ce livre, roman historique qui nous donne l'impression d'une fenêtre ouverte sur la vie de nos aïeuls, grâce au talent de son auteur qui sait partager son érudition sans lourdeur ni pesanteur...
" Chaque feuillet tourné appelle le suivant et la vie entière m'apparaît d'ores et déjà trop courte."
Que dire de plus ?

 

L'ombre de Dieu

 

tonpdg   26 mars 2015

L'auteur met en situation un personnage afin de nous faire revivre le moyen age et la première croisade.
Un très beau roman que je recommande à ceux qui aiment l'histoire sans être des spécialistes.

 

Cher Jean-François,

Depuis peu, j'ai attaqué ton ouvrage. Quelle richesse dans un domaine méconnu ! C'est un régal ! En outre j'apprécie beaucoup la qualité, l'élégance de ton écriture, tout autant que l'humour qui vient l'émailler et nous réjouir.

Je n'ai guère lu pour l'instant qu'une petite centaine de pages, mais j'attends la sieste avec impatience chaque midi : c'est mon "heure".

Cordialement... et bonne année 2014 : paix, bonheur, succès.

Jacques M.

Bonjour,
C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai abordé la lecture de la Rivière d'Or. La raison en est que j'avais très apprécié l'Apothicaire de Grenelle et que j'espérais donc lire une suite aussi trépidante et bien documentée relatant les aventures
des fils Lasalle.
D'autre part, j'apprécie le genre de la littérature historique car le roman nous fait éprouver de l'empathie pour des personnages d'une autre époque et rend ainsi le récit de leurs aventures plus vivant.
Vous avez surement deviné que j'ai apprécié votre livre et ses personnages qui évoluent en Hollande du XVIIe siècle, dans le cadre exotique de l'Afrique australe ainsi qu'en France où les protestants étaient persécutés et contraints à l'exil.
J'ai également appris des choses intéressantes comme le fait que l'Afrique de l'Est faisait partie des Indes Orientales ou que les bornes que l'on peut voir encore dans les rues des quartiers historiques servaient à délimiter les zones piétonnes.
Deux bémols toutefois pour ne pas passer pour le parfait thuriféraire. J'ai trouvé l'épisode de l'opération de la fistule de Louis XIV un peu long quoique très drôle. De même la description des gestes pour manœuvrer le Griffon remplie de termes
techniques a fini par me décourager d'avoir recours au dictionnaire.
Toutefois, cela ne masque en rien le plaisir de la lecture passionnante et émouvante de votre ouvrage qui n'exclut pas l'humour et la sensualité.
Francis Foque

 

Très cher Monsieur Zimmermann,

  L'Ombre de Dieu ne m'a livré que ses premières pages, à ce stade, mais je chéris déjà le privilège d'avoir fait votre connaissance, lors de la Fête du Livre, à Lille.

  Voilà une oeuvre qui se déguste avec lenteur, dont le style évoque les grands vins de France - et la trame, la richesse profondément humaine de l'Histoire.

  Je décompte les heures qui me séparent de celle du coucher, moment où je m'accorde des pages de votre roman, récompense d'une journée bien remplie.

  Avec toute mon admiration,

Erik B.

 

♫ C'est un beau roman, c'est une belle histoire... ♫ chantait Michel Fugain dans les années 70 (en 1972, année de ma naissance, plus précisément). Et c'est cette mélodie qui me vient en tête en refermant le livre de Jean-François Zimmermann. Amour, intrigues, voyages, Histoire... Tous les ingrédients sont rassemblés ici pour faire passer à la lectrice que je suis quelques agréables heures de lecture. J'avais déjà dévoré - le mot n'est pas trop fort - le premier tome, L'APOTHICAIRE de la RUE de GRENELLE, et je dois bien avouer que j'en ai fait de même avec celui-ci.

J'ai retrouvé avec plaisir Martin Lasalle, de retour des galères, et fait un peu plus connaissance avec sa fratrie, bien jeune encore lorsque nous l'avions quittée. Et là où le récit pourrait s'essouffler ou n'être simplement qu'une suite, il intrigue, surprend et forme non pas une simple continuation mais bel et bien une véritable histoire. Une histoire dans l'Histoire d'ailleurs car l'auteur, amoureux de ce siècle et cultivé comme il se doit, imbrique avec justesse et brio ses personnages - fictifs - avec d'autres figures bien connues des historiens.

Que dire de plus, si ce n'est que j'espère vous faire découvrir cet auteur qui mérite amplement que l'on s'intéresse à lui. le premier tome avait obtenu le Grand Prix du Roman des Écrivains Bretons. Je souhaite vivement que celui-ci remporte également une récompense, et pas forcément à connotation régionale d'ailleurs. le talent n'a pas de frontières...

Lydia B.

Olivier Olivier Jean-François Zimmermann. Je termine à l’instant votre “apothicaire ”.
Un grand bravo, excellent ⭐️30/05/2020

 

J'ai eu la chance de vous rencontrer au Furet de Valenciennes le 25 janvier et je chevauche auprès de Thibaud depuis quelques jours avec un réel bonheur. J'attends ma semaine de congés avec impatience pour voir où il va m'emmener.

Agnès S.

 

La grande Histoire racontée par un passionné en devient passionnante.

Jean-François Zimmermann, auteur discret que je rencontre souvent sur les salons généralistes, est un passionné, un autodidacte devenu érudit qui a choisi d'approfondir encore et toujours ses connaissances et de nous les faire partager dans ses romans. Avec l'Ombre de Dieu, il nous invite à un voyage moyenâgeux, dans cette époque terrible, troublée et troublante où l'écriture était l'apanage des moines. L'auteur s'est attelé à un travail considérable en nous relatant l'histoire de Thibaud, né à la fin du XIe siècle, un jeune homme qui revêtira la coule moins par conviction que par soif de savoir. La découverte de l'amour et du plaisir charnel l'obligera à renoncer à son engagement mais la foi ne le quittera pas complètement et il s'associera à la Croisade. Une Croisade telle que je ne l'avais jamais perçue, un peu comme si vous la viviez sous une plume journalistique, et on se prend à penser que décidément rien n'a changé. Les hommes ont toujours faim de conquêtes et de pouvoir, et la religion n'est bien souvent qu'un alibi aux pires manœuvres et exactions. Cet ouvrage de près de 500 pages, riche et abondamment documenté, est difficile à résumer. Il foisonne de ce vocabulaire moyenâgeux si curieux à l'oreille et plein d'enseignements sur le plan étymologique. Il regorge de précisions sur les us et coutumes des moines, paysans, vignerons, artisans et chevaliers, tous rôles qu'endossera Thibaud au cours de ses pérégrinations. Mais ce n'est pas une thèse ou une étude, c'est un roman. Tout cela a-t-il un sens ?, se demande l'auteur (ou Thibaud) à la fin de l'histoire. Nul ne le sait. Mais nom de Dieu, qu'est-ce que c'est beau, l'Histoire racontée et vulgarisée par un conteur talentueux. Merci de m'avoir rempli les mérangeoises l'ami. Ton voyage vaut le détour.

Patrice Dufetel.

 

Je te souhaite, ainsi qu'à ta famille, une très bonne année 2014. Que cette année t'apporte bonheur et santé ainsi que réussite dans l'écriture.

   Je viens de finir L'ombre de Dieu que j'avais pris à Lille et voulais te féliciter pour ce roman. J'ai cru qu'étant complètement athée, ce livre ne me plairait pas mais cela n'a pas été le cas et j'ai été captivée par l'histoire de Thibaud. J'ai de plus appris des tas de choses en histoire qui n'est pas mon domaine de prédilection.

   Merci pour ces  bons moments de littérature.

   A bientôt

Valérie C.

 

Si j'ai bien compris tu viendras à Vitré à la fin de ce mois, alors fais moi plaisir et prépare une dédicace . Tu sais, grâce à ton écriture, j'ai appris à connaître ce moyen-âge qui me semblait si lointain alors que les êtres sont et demeurent semblables à notre ère dite nouvelle, mais se transporter dans le temps, cela est fabuleux.

Rolande Préchoux.

 

Bonjour Ami,

Permettez moi cette familiarité ,mais lorsque je lis un de vos ouvrage c’est un ami qui me conte une belle histoire.

Je ne met ni indulgence, ni flatterie . Ce n’est pas mon genre , mais quand j’aime des écrits je le dit sans ambages .Dès que vos deux livres seront édités soyez sur que je serai heureuse de me les procurer.

Le salon du livre de Corsept est prévu pour  octobre 2015 . Cette année les conditions que la municipalité me proposait pour les écrivains ,ne me convenaient pas.

 

Dès que les dates pour le prochain salon seront fixées ,je vous les communiquerai . En espérant que vous soyez libre et que vous puissiez accepter mon invitation .

Très cordialement .

Jean.Nine. M.

 

J'ai aimé dans un premier temps les personnages du premier tome : L'APOTHICAIRE de la RUE de GRENELLE, livre que j'avais dévoré. L'auteur a eu l'art et la manière de nous rappeler ce qu'il s'était passé dans le premier volume. L'intrigue est intéressante au départ. Trois frères que tout oppose, ont finalement un point commun : fuir le roi soleil. L'un parce qu'il est protestant, l'autre parce qu'il court après la fortune et les femmes et le dernier parce que sa femme le trompe avec le roi. Je me suis vite lassée. Il y a beaucoup de vocabulaire propre à la navigation, ce qui n'est pas mon dada. J'avais beaucoup de difficultés à m'y retrouver dans ces différentes tribus d'Afrique qui sont nommées. Je suis finalement restée sur ma faim.

Adam S.

 

En ces temps de violences et d’incertitudes, combien il est plaisant de retrouver chaque soir, sur la table de chevet, le fidèle ami que l’on a quitté la veille, à regret, esclave de l’heure  tardive qui nous contraint à le refermer.

« L’ombre de Dieu », « L’apothicaire de la rue de Grenelle », et maintenant « La Rivière d’or », tous vos romans sont pour moi enchantement.

J’attends avec impatience - dois-je vous l’avouer ? – le troisième tome du « Crépuscule du Roi-Soleil » ?

Xavier L.

 

Après avoir lu « l’Apothicaire de la rue de Grenelle », on peut être surpris du destin aventureux des principaux personnages sur les mers de l’océan indien. Ils sont toujours en quête d’idéal et, pour certains d’entre eux,  quittent le confort d’une vie douillette pour l’incertitude de quête d’utopie : créer une république entre ailleurs et nulle part. dans un style léché, précis et tranchant comme un scalpel mais aussi poétique, l’auteur nous prend au col et nous entraîne dans son monde.

Jean-Yves D.

 

bonjour Mr Zimmermann,

 

Nous nous sommes rencontrés au salon du livre en avril dernier à Marly dans le Nord.

Je voulais vous faire un retour, même si il est tardif, sur votre livre "L'apothicaire de la rue de Grenelle" et répondre à la question que vous aviez noté comme dédicace à l'intérieur du livre "Etes-vous d'accord avec cette affirmation : Ecrire des romans est un acte de rébellion contre la réalité".

j'ai adoré votre livre. Je lis essentiellement des livres de Juliette Benzoni mais j'ai retrouvé dans cet écrit ce qui me plaît dans l'écriture de Mme Benzoni.

Ce qui m'a plu est la description de la Bastille par le même personnage à des âges et dans des situations différentes.

Mon personnage préféré est Anne de la Peyrrière qui reste fidèle à Alexandre envers et contre tout.

Une expression a particulièrement attiré mon attention : A bouche close n'entre mouche.

Je ne saurais vous dire pourquoi mais elle me plaît.

concernant l'affirmation, je dirais que c'est plus un échappatoire à la réalité et non un acte de rébellion. 

Je pense que c'est une façon d'exprimer la conception de notre réalité telle que l'on voudrait qu'elle soit.

De même, ne pourrait-on dire que lire est un acte délibéré de fuir une réalité qui ne nous convient pas?

Pour ma part, la lecture me fait vivre des aventures que je ne vivrais sûrement pas dans la vie réelle.

Ce sont des fantasmes ou des rêves que la raison nous empêche de le réaliser.

je pense prochainement lire une autre de vos œuvres.

A une prochaine rencontre, peut-être.

Catherine Setan 10/10/2019

 

 

« Un grand merci pour ces belles heures de lecture ! Comme d'habitude, je me suis régalée. Encore bravo ! » (Lydia Bonnaventure)

 

« Belle écriture. Orthographe impeccable. Cela fait plaisir de voir que certains auteurs parlent et écrivent un bon français. Cela réchauffe le coeur de pouvoir au moins lire une phrase sans trouver six fautes d'orthographe!! » (Nathalie Tall Le Fournis)

 

« Vous entraînez votre lecteur, à son insu, dans votre univers et vous ne le lâchez plus. Il y a deux plans de lecture, un premier plan dessiné sur la toile de l'aventure et un second plan, philosophique celui-là, qui l'amène à réfléchir sur l'idée de liberté des êtres, liberté de penser et d'entreprendre. J'aime beaucoup ce que vous faites ». (Christian B. journaliste, 22 mars 2015)

 

« Cher monsieur Zimmermann, J'ai commencé la trilogie par le tome 3. Je sais, ce n'est pas très malin ! Je lirais donc prochainement, dès que je me les serai procurés, les deux précédents. J'aime votre écriture à la fois concise et poétique. J'aime aussi le thème évoqué, celui de la liberté. Celle qui est évoquée dans Libertas est le prélude de 1789 ». (Ahmed G.)

 

Habituellement, les histoires maritimes ne m'enchantent guère. Mais là, je me suis laissée emporter par la vague, en redemandant encore, prête à boire la tasse ! Je n'ai pas vu passer les heures de lecture, retardant même l'échéance de la dernière page. Très cher Jean-François, mais comment faites-vous ? C'est de la magie ? Ou plutôt, devrais-je dire, de l'alchimie ! Après toutes ces aventures, je suis prête à lire les récits de Surcouf, tiens ! Lisez ce livre et vous comprendrez pourquoi je dis cela...

Quel plaisir de retrouver Jean-François Zimmermann dans son époque de prédilection, le XVIIe siècle ! Une fois de plus, il nous entraîne, avec la plume et la verve qui le caractérisent, dans une société dans laquelle grouillent les intrigues. Et il associe cette période à une région qu'il connaît bien, la Bretagne. Dès lors, il va laisser parler son coeur et son esprit et nous embarquer à bord du Marsouin, bateau devenant pratiquement un personnage de l'histoire. La noirceur de l'être humain va apparaître dans deux classes sociales paraissant distinctes mais pourtant si étroitement imbriquées. C'est à travers le Comte Yves de Porcon puis son fils, Guy, que l'on verra apparaître l'égoïsme, l'arrogance, le dédain envers autrui. Ils apparaissent presque comme un cliché, image tenace cependant que certains ont encore aujourd'hui de la noblesse. Et si, en général, l'estime va plutôt au "petit peuple", Tanguy symbolise l'exaspération, la rancoeur et l'aigreur. Cependant, rien n'est perdu car l'Homme recèle également de bons côtés... Lydia Bonnaventure, 20 avril 2016

 

Je viens de terminer “Le Mépris et la Haine”, je suis un lecteur assez lent. Je te livre donc pêle-mêle mes impressions à chaud. Tout d’abord je ne suis pas surpris qu’un “gros” éditeur te fasse confiance, à sa place j’en ferais autant. Tu sais écrire, tu as le souffle, tu mets du rythme, l’intrigue est bien ficelée et tu connais ton affaire. Les références historiques sont précises, abondantes, presque trop parfois, comme si tu craignais que le lecteur mette en doute tes connaissances. J’ai quand même trouvé trouvé les dialogues trop lissés et  personnages trop manichéens, mais c’est peut-être mon expérience d’élu qui m’a appris à modérer ma vision de la nature humaine.
Ma conclusion est sincère, comme le reste d’ailleurs: je quitte ton livre à regret.
Loïc LE GUILLOUZER, le 21 mai 2016

Lorsque vous avez sollicité de ma part la lecture et la critique de votre dernier ouvrage, vous l'avez fait avec tant de gentillesse et de modestie qu'il m'était délicat de vous les refuser ! Voici ce je pense de votre travail. Deux lectures s'imposent : La première lecture se fait d'un trait. Vous possèdez l'indéniable talent de ne jamais être ennuyeux. L'intrigue est bien menée, des situations innattendues nous attendent à chaque chapitre. Vos personnages ont tant d'épaisseur qu'ils nous semblent vaguement familier. A la manière de Dumas, de Féval ou de Sue, leurs caractères sont sans nuances, à la limite de la caricature. Ils sont au service de l'idée que vous avez voulu exprimer : une fable sociale qui se veut intemporelle. On aborde ici la seconde lecture, la préfiguration de la lutte des classes. En parallèle à ce sujet, vous entendez aussi traiter celui de la foi, ou plutôt de son absence, mais vous ne faites que l'effleurer. On peut le regretter. Les points forts : la qualité de l'écriture, l'art de planter les décors, le monde paysan, le monde maritime, en y mêlant réalisme et poésie. Le point faible : le vocabulaire placé dans la bouche des gens du peuple est trop précieux, comme si vous aviez craint la crudité des propos. Voilà, je me suis acquitté de la tâche que je vous avais promise et vous rappelle, qu'en raison de mon appartenance à un journal bien connu, je ne vous autorisais pas à utiliser ma signature. B.P. (12 août 2016)

Du Sénégal où je viens d'avaler ton dernier livre en quelques jours depuis mon retour là bas.
Ce qui pour moi est un exploit .Pas mon retour, bien sûr, mais le fait d'avoir été tenu en haleine par ce récit.
De mon humble et modeste  point de vue, j'ai noté un certain dépouillement dans ton style.
Je garde en mémoire tes deux premiers ouvrages dont la richesse de la documentation pouvait freiner la chronologie des évènements.
Ton dernier livre concilie à mon sens les deux intérêts pour le lecteur.
Passer à la page suivante pour savoir ce qui va se passer, et découvrir la marine à voile avec tout son vocabulaire et ses coutumes, sans oublier la Bretagne et les terres malouines qui ont été mon univers ces dernières années

Merci pour ce bon moment de lecture que je vais essayer de faire partager ici, dans cet endroit du Sénégal qui est aussi une terre de pêcheurs ( les lébous).

Et j'imagine que tu dois travailler sur un prochain roman, mais là je suis peut être indiscret... Jean-Yves PLANCHAIS (30 août 20116)

Le mépris et la haine est un polar historique écrit par Maigret du 17ème qui s’attache à deviner les dérives d’un milieu social, en l’occurrence le microcosme de la petite noblesse de province.

Pouf ! Ça décoiffe ! Voilà un livre qui se lit d’une traite ! Regardez bien la couverture et vous aurez tout compris ! La corde, c’est l’arbre aux pendus, la dague, c’est l’arme du crime, et le visage grimaçant taillé dans le granit de Bretagne, c’est la haine. Manque, le mépris qu’il faut découvrir au long du récit. Une intrigue au dénouement inattendu qui explicite un crime abominable.

 

Bravo, bravo, j'ai mesuré avec Roland Noël Président du Groupement Mondial des Écrivains Médecins la dimension de votre talent. Vous êtes le deuxième écrivain avec Claude Alain Planchon, primé au Salon du Livre de Moret sur Loing à un bel avenir littéraire et théâtral.

Denis Bource 14/06/2022

 
Ce qui m’a le plus intéressée, c’est la peinture de l’emprisonnement
Bravo, donc, tu ne m’as pas du tout ennuyée
 
Dans ce roman, que l’on pourrait qualifier de didactique, chaque page est promesse de saveur aigre-douce, l’enthousiasme est à son comble pour un scénario sur fond d’histoire exempt de clichés. 
 
On apprend énormément de choses et je salue le travail de l’auteur qui s’est documenté et a su mettre en scène de façon très naturelle l’Histoire avec un grand H.
le style est vif, alerte. 
Je conseille vraiment ce livre, d’autant plus si vous vous intéressez à l’Histoire.
 
J’ai beaucoup aimé ce livre et pourtant, je ne suis pas fan de roman historique. 
 
J'ai lu avec beaucoup d'intéret votre livre.
 
Les personnages sont attachants, en particulier les deux héros de l'histoire : Alexandre et Martin qui vont au bout de leur quete, bravant
les interdits, la violence et les dangers de l'époque dominée par un tyran : Louis XIV.
 
Le style est alerte, illustré par des expressions de l'époque
félicitations pour votre Grand Prix des Ecrivains Bretons, amplement mérité. 
 
Bravo pour le formidable travail de documentation et le rendu fidèle d'un vocabulaire aussi imagé que truculent.
 
On se familiarise très vite avec vos héros aux sentiments si humains, guidés tour à tour par l'amour, l'amitié, la jalousie ou la haine
 
Je crois que mon héros préféré dans le roman n'est pas Alexandre Lasalle, mais son fils Martin.
bravo pour ta reconstitution du XVIIe siècle à travers ce personnage attachant qu'est Alexandre
Je me suis beaucoup amusé aussi des astuces pour nous décrire l'époque sans trop tomber dans le didactisme, en te servant des conversations des personnages.
 
j'ai bien aimé L'Apothicaire et j'attends la suite de ton écriture (et de ses aventures ?)
 
Pas de l’eau de rose, ce roman-là, le temps était dur, violent.
 
Je suis très impressionnée par les détails, la recherche que vous avez dû entreprendre pour que votre œuvre ait cette profondeur, cette réalité, ces détails qui font que l’on parcourt avec vous les rues, les quartiers de Paris.
 
Il y a tant de choses dans votre livre… C’est l’Histoire, l’Histoire de France avec ses tristes guerres de religions, l’histoire de cet homme dans sa profession, ses recherches, sa vie d’homme, avec tout ce monde qu’il approche de près ou de loin… ces vies simples, ces débauches, ces trahisons, ces souffrances, et puis cette fin un peu inattendue et qui a « failli » être heureuse…
 
Cher ami Zimmermann, j'aime votre écriture, quand mon travail me laisse un peut de temps libre et que mes yeux ne se ferment pas après une journée fatigante, je prends votre livre et je plonge dans vos pensées.
 
Un écrivain tout en pudeur et en retenue qui mérite amplement d'être connu. 
 
Je tiens par ce petit mot à vous féliciter pour votre beau roman « De Silence et d’ombre », que j’ai beaucoup aimé
Tous les thèmes sont réunis dans votre ouvrage pour aboutir au succès et apporter un réel plaisir de lecture : l’aventure, l’amour, l’amitié, la fidélité historique, les étapes à la fois familières et exotiques d’un destin hors du commun
La forme du journal intime ajoute de l’authenticité au propos. On a l’impression de recevoir personnellement les confidences les plus secrètes de Thibault.
merci pour ce beau moment de lecture et à bientôt j’espère sur un salon
Vous avez déjà fait vos preuves et vous êtes sur une bonne lancée.
 
"L'apothicaire de la rue de Grenelle" m'a entraîné dans la vie d'Alexandre Lasalle et m'a fait découvrir, une fois de plus, une époque où les croyances, les valeurs, les individus représentaient des symboles forts de leur société.
 
j'apprécie les écrivains qui ont du style. ... 
 
J'ai retardé le plus possible l'instant fatidique où je devrai refermer définitivement ce livre. J'avais déjà apprécié L'Apothicaire de la rue de Grenelle mais comment ne pas craquer devant ce petit moine évoluant dans ma période de prédilection ? 
 
Le roman fourmille de références culturelles. 
Oserais-je dire que Jean-François Zimmermann excelle dans le roman historique ? Oui, j'ose !
 
Bravo à toi pour le succès de tes ouvrages et je ne doute pas que le second ouvrage dépasse le premier sur cette belle route.
Après avoir apprécié sans modération  le premier roman,
je souscris naturellement au second
 
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Le Mépris et la Haine
Je l'ai lu et apprécié, à la fois pour ses qualités narratives, mais aussi pour le contexte historique toujours soigné et rigoureux! Ce roman saura vieillir grâce à cela!
Patrice Dufétel (26/11/2023)

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