Un vieil écrivain plein d'avenir...
Jean-François ZIMMERMANN
Membre de l'Association des Ecrivains des Hauts-de-France
Qui suis-je ?
Je me nomme Jean-François Zimmermann, je suis né à Paris le 8 août 1946.
Après des études secondaires écourtées en 1963 par la brutale disparition de mon père, je travaille en tant que pigiste dans une agence parisienne de documentation de presse. Mes obligations militaires accomplies, je me marie à Rennes et intègre l’équipe commerciale d’une entreprise de vins et spiritueux.
Beaucoup plus attiré par les lettres que par le commercial, je mène en parallèle une seconde activité plus conforme à mes espérances en collaborant avec plusieurs revues ainsi qu’avec le quotidien Ouest-France dont je deviens correspondant de presse.
Je voyage beaucoup et nourris ainsi mon imaginaire.
Nouvelliste, je participe à différents concours dont je suis souvent l’heureux lauréat.
En 2005, je décide de consacrer l’essentiel de mon temps à l’écriture et passe alors du texte court au roman.
Passionné d’Histoire, mon univers de fiction rejoint celle-ci pour tricoter des intrigues dont la première se situe au Moyen-Age et les suivantes sous l’Ancien Régime.
Je vis désormais dans le Nord de la France et participe à la vie culturelle et littéraire de la région en donnant des conférences portant sur le rapport étroit existant entre le roman historique et l'Histoire, et en animant des débats tant en médiathèques qu'à l'occasion de salons du livre.
Avis aux organisateurs de salons du Livre, aux responsables de médiathèques et bibliothèques ainsi qu'aux clubs désireux d'organiser une soirée littéraire :
Je propose une série d'animations et de débats portant au choix sur les thèmes suivants :
Louis XIV, côté coeur
La santé de Louis XIV
Les galériens du Roi-Soleil
La vie à Paris et à Versailles
La vie dans les campagnes au XVIIème siècle
La Compagnie des Indes Orientales
Le monde maritime, les pirates et les corsaires
La sorcellerie dans les Hauts-de-France
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Septembre 2023 : et de onze !
Avant de mourir une dernière fois
Avant de mourir une dernière fois, il était temps, Maman, de régler nos comptes.
Il m’a fallu des décennies pour que cela m’atteigne, comme un cancer à l’évolution lente.
Tu as épousé mon père sur un malentendu. Tu étais belle et désirable, il était déjà vieux, mais riche. Une vie entière derrière lui et deux enfants d’un premier lit.
Raisonnable, il n’en voulait plus, d’enfants.
Le malentendu, c’est moi.
Le paquet surprise.
Un enfant de vieux. J’aurais largement pu être son petit-fils. Désiré et imposé par l’une, refusé et subi par l’autre.
Tu m’as volé mon enfance. Une première petite mort.
Tu as trahi mon père et ne m’as pas épargné tes cris de jouissance poussés dans les bras de tes amants. Une deuxième petite mort.
Avant de mourir une dernière fois, je te présente l’addition, Maman.
« La plume de l’auteur est féroce, mais non dépourvue d’humour. Sous-jacente à cette légèreté feinte, transparaît toute la souffrance de l’enfant témoin de la trahison de sa mère et, subséquemment, de la déchéance de son père. »
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15 septembre 2022, sortie de mon dixième ouvrage :
Les 4 sorcières de Bouvignies
Aux éditions NORD AVRIL
« Les 4 sorcières de Bouvignies » est le roman vrai d’une tragédie dont les acteurs sont les habitants d’un village du Nord de la France, Bouvignies.
Bouvignies, village français du département du Nord, est aujourd’hui une bourgade bien paisible. Il n’en a pas toujours été ainsi. Voilà plus de trois siècles, en 1679, elle fut le théâtre d’événements tragiques.
L'auteur a pris la liberté de donner chair aux personnages impliqués dans la tragédie qui a bouleversé l’existence de ses habitants en imaginant leur vie quotidienne, leurs passions, leurs amours, les liens qui les unissaient, les brouilles qui les opposaient et enfin les raisons inavouables qui les conduisirent à mener au tribunal, dans un même élan de haine, voisins, voisines, amis, ennemis et parents.
Trois ans après le procès, le bourreau est assassiné. Le fils de celui-ci, commissaire de police parisien, est appelé au village pour régler les affaires relatives à l’héritage. Il va se trouver contraint d’enquêter sur la mort suspecte de ce père qu’il s’efforçait d’oublier. Le passé macabre resurgit en même temps que les souvenirs liés à son premier et unique amour. Il savait que son père était un être diabolique. Entreprendra-t-il de démêler l’écheveau de cette histoire dans laquelle sont impliqués tous les habitants du village ?
Les faits relatés dans la première partie de ce roman sont avérés et tous les personnages, authentiques. L’art du romancier a consisté à les doter d’une personnalité crédible d’après les documents dont il disposait, notamment les minutes des procès scrupuleusement consignées par le greffier, André Delerue, en 1679, disponibles aux Archives du Nord. Il s’est aussi permis d’éclairer par la fiction les lacunes que l’Histoire n’a pu combler, faute de documents. La seconde partie est fictionnelle.
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27 janvier 2022, sortie de mon neuvième ouvrage :
Aux Editions Christine Bonneton
En 1636, à Lille, Jean de Béthencourt, jeune homme de 18 ans, formé à l’art de l’escrime par les meilleurs maîtres d’armes du royaume afin d’être le bras vengeur de sa famille, tue en duel Diego de Malladas, un officier espagnol meurtrier de son père, Pierre de Béthencourt. Jean doit fuir pour échapper aux autorités espagnoles et à la vengeance de la veuve de Diego, devenue pourtant sa maîtresse…
Ivre de ses succès féminins et guerriers, Jean, escrimeur de renom, habile menteur, beau parleur et coureur de jupons, saura-t-il déjouer les pièges tendus par l’homme en rouge, ce cardinal qui ignore le pardon et la charité chrétienne, mais est avide de pouvoir et de richesse, et passé maître dans l’art du complot ?
Mêlant avec habileté la petite et la grande histoire, Jean-François Zimmermann transporte le lecteur au cœur du XVIIe siècle, au temps de Richelieu, du roi Louis XIII et des mousquetaires.
Le personnage est ambigu en ce sens qu’il est éloigné de l’image favorable attachée habituellement aux héros de cape et d’épée. Jean de Béthencourt a été façonné par ses parents pour accomplir la vengeance familiale. « Ils ont fait de toi une machine à tuer », dit Philippe de Gondi, son oncle maternel. Le goût du sang va lui venir aux lèvres. Inhumain lorsqu’il prend plaisir à croiser le fer, d’autant qu’il ne semble pas exister un adversaire à sa taille dans tout le royaume. Humain malgré tout lorsque son cœur s’enflamme au premier sourire aguichant d’une jolie femme.
Il se bat, parfois contre son gré car le mauvais sort s’acharne contre lui.
Son entregent naturel lui vaut de côtoyer les proches de la Couronne. Il mène grand train, se couvre de dettes. Il se compromet pour éviter la hache du bourreau, trahit, et se trouve entraîné dans une infernale sarabande.
L’étau se resserre autour de lui.
Jusqu’à l’ultime duel.
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18 juin 2020, sortie en librairie de mon huitième ouvrage :
L'île de la Liberté
1686, Amsterdam. Martin Lasalle embarque sur le Fortune en tant que chirurgien. Le jeune homme laisse sur la rive Madeleine, la fille d’un confrère médecin, qui porte son enfant. Mais le jeune homme impétueux a soif d’aventures et de revanche, contre le roi de France qui vient de signer la révocation de l’édit de Nantes, contre son frère Paul qui l’a trahi et envoyé aux galères pour fait de religion, et contre la vie qui vient de lui arracher la moitié du visage, alors qu’il poursuivait les expériences de son défunt père pour obtenir la pierre philosophale.
Le Fortune est un navire de la Compagnie maritime hollandaise commandé par un pirate français humaniste, Olivier de L’Aubertière. Il rêve de fonder une république libre et égalitaire. Pour parvenir à ses fins, il lui faut des hommes, qu’il recrutera par un discours convaincant, et de l’argent, qu’il obtiendra en rançonnant des navires marchands.
Dans le même temps, Paul, sous couvert de sa soutane, intègre une expédition dans le but inavoué de s’approprier les richesses des mines d’or du sud de l’Afrique.
Les deux frères tracent chacun leur route sans se douter qu’elle va les amener à se rejoindre en plein océan Indien…
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Mon septième roman, publié aux Editions De Borée, est sorti en librairie le 15 novembre 2018.
Le Roi des Halles
"Mémoires secrets du Masque de fer"
De quoi est-il question ?
Qui était l’homme au masque de fer ? Voilà plus de trois siècles que les historiens s’échinent à résoudre cette énigme. Chacun d’entre eux détricote les versions de ses prédécesseurs. En l’absence de preuves irréfutables, force est bien de constater que de la quarantaine de thèses avancées, seule une demi-douzaine d’entre elles sont relativement crédibles, mais toujours sujettes à caution. Des dizaines de romanciers – et non des moindres tels Dumas, Féval, D’Aillon, Desprat, Benzoni, Hugo, Rostand– se sont emparés de cette veine quasi inépuisable pour laisser courir leur imagination avec plus ou moins de bonheur.
François de Vendôme, petit-fils d’Henri IV, duc de Beaufort, est un personnage, attachant à plus d’un titre, qui m’a fasciné. Moqué et décrié par certains de ses contemporains, admiré voire adulé par d’autres, il a d’abord suscité ma curiosité en raison de tous ces avis contraires. Sa mystérieuse disparition à Candie entourée de nombreuses interrogations restées sans réponses n’ont fait qu’exciter davantage mon intérêt pour lui. Une des thèses recevables, mais aujourd’hui battue en brèche, émise par plusieurs historiens des siècles passés, a vu en lui « le Masque de fer ». Les nombreuses plages d’ombre qui subsistent encore la décrédibilisent – encore que ! –, mais n’étant moi-même pas historien je m’accorde le privilège, en tant que romancier, de me l’approprier.
Ce roman est nourri par deux récits qui s’alternent, parfois se chevauchent. Rédigé à la première personne, le premier est le recueil des mémoires apocryphes du duc de Beaufort qu’il rédige en secret durant son incarcération, en forme d’instructions adressées à son neveu Philippe. Il y relate sans détour sa vie tumultueuse, ses exploits guerriers tant sur terre que sur mer – il était amiral de France –, ses nombreuses aventures amoureuses dont la plus importante à ses yeux est celle qu’il a eue avec la reine, Anne d’Autriche, ses complots ourdis contre Mazarin, son emprisonnement cinq ans durant à Vincennes suivi de sa spectaculaire évasion, ses états d’âme, ses doutes.
Le deuxième, rédigé par le narrateur omniscient, se déroule dans la forteresse de Pignerol. Dans une cellule de la tour d’en-bas est enfermé au secret le plus absolu celui que l’Histoire nommera « Le Masque de fer » en la personne du duc de Beaufort qui a rejoint là en 1669 un non moins célèbre personnage, le surintendant Nicolas Fouquet, emprisonné depuis la fin de son procès en 1665. Pour quelles raisons obscures le duc est-il détenu à Pignerol ? Il n’en a pas la moindre idée et son geôlier non plus, le gouverneur Saint-Mars, ancien compagnon d’armes de D’Artagnan. Cette interrogation qui le mine est le fil de tension qui mènera à l’épilogue. S’il représente un grand danger pour la Couronne, pourquoi son cousin le roi Louis XIV ne l’a-t-il pas éliminé ? En quoi a-t-il failli ? Il a officiellement disparu à Candie dans une bataille contre les Turcs, mais on n’a jamais retrouvé son corps et personne n’a été témoin de sa mort. Pourtant, quelques mois plus tard après sa disparition, le roi célèbre ses funérailles officielles devant un cercueil vide.
Ce roman trouve son origine dans la sympathie particulière que j’éprouve envers cet homme, François de Vendôme, duc de Beaufort. Ce digne petit-fils d’Henri IV, flamboyant comme un gascon, courageux jusqu’à la témérité, beau, aimable et aimé des femmes, avait de quoi séduire. Comme il se plaisait à le dire la lignée des Vendôme n’avait pas été souillée par le sang vicié des Florentins en la personne de l’épaisse banquière Marie de Médicis. Né d’Estrées, il se sentait plus Bourbon que le roi lui-même, Louis XIII et après lui Louis XIV, mais il était néanmoins un bâtard, ce que d’aucuns ne manqueront pas de lui rappeler durant toute sa vie. Cette vie fut brutalement interrompue à Candie alors qu’en tant qu’amiral de France à la tête des armées navales royales il menait un partie désespérée dont les dés étaient pipés bien avant l’engagement du combat. Malgré des recherches assidues auxquelles participèrent les Turcs, pourtant nos ennemis, son corps ne fut jamais retrouvé. Sa disparition en 1669 coïncida curieusement avec l’incarcération d’un mystérieux personnage dans la forteresse piémontaise de Pignerol. Le luxe de précautions dont il fut entouré pour que l’on ne puisse soupçonner son identité laisse à penser qu’il s’agissait d’un gentilhomme de haute lignée. Placé à l’isolement dans une cellule à triple portes, masqué, il lui était interdit d’adresser la parole à quiconque sous peine de voir son interlocuteur rayé du monde des vivants.
La légende du masque de fer était née.
On en parle sur :
- Le DAILY NORD
- ACTUALITTE
- La revue EULALIE
- L'AISNE NOUVELLE
Jean-Christian Petitfils
Historien et auteur d'une trentaine d'ouvrages qui font autorité auprès de ses pairs dont les biographies de personnages du Grand Siècle (Le Véritable d'Artagnan, Le Régent, Lauzun, Nicolas Fouquet, Madame de Montespan, Louise de La Vallière), il a écrit un ouvrage de synthèse sur Louis XIV, fruit de vingt-cinq années de travail (1995). Ce dernier combine une approche originale, mêlant science politique de l'Ancien Régime et biographie classique, Ce livre a remporté un grand succès (55 000 exemplaires). Dans la même lignée, il a poursuivi avec des biographies de Louis XVI (70 000 exemplaires3), Louis XIII et Louis XV et, récemment, Henri IV.
Son avis sur "Le roi des halles" m'est d'autant plus précieux qu'il émane d'un tel historien de référence.
19 octobre 2021
J'ai lu avec intérêt - et bien sûr amusement, car il s'agit d'une pure fiction - votre roman à la fois richement documenté et remarquablement bien écrit. Vous avez pris le parti original d'écrire ainsi les "mémoires du Masque de fer", ce qui vous permet de vous mettre dans la psychologie du personnage. Bravo ! C'est très réussi, même si on est bien loin de l'Histoire.
Jean-Christian Petitfils
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Mon sixième roman : "Rendez-vous au Pré-aux-Clercs" est paru aux Editions De Borée,
Le 16 novembre 2017
La première de couverture est tirée du tableau de Le Nain
"Tabagie (1643)"
Finaliste du Prix du Roman "Lire en Soissonnais" 2018
Prix special du Jury à BAPAUME 2019
Une maîtrise de l'écriture et un style dignes d'Alexandre Dumas !
Les fils du comte Christophe de Courcelles sont réputés être jumeaux. François, le premier né, a tous les droits et rejoindra les
Mousquetaires du Roi. Raphaël, le cadet, n’a d’autre choix, à son plus grand désespoir, que d’épouser la carrière ecclésiastique.
Une inimitié grandissante s’est pernicieusement installée entre les deux frères que tout oppose. Lorsque la Fronde prend sa pleine
ampleur, François est fidèle à la reine-mère Anne d’Autriche, régente jusqu’à la majorité de Louis XIV, secondée par Mazarin,
tandis que Raphaël, devenu la meilleure lame du royaume, participe très activement à la rébellion.
Un terrible secret, qui pourrait bien mettre la couronne en péril, risque d’être étalé au grand jour. Inéluctablement, François et Raphaël
en viendront à s’opposer après une folle course-poursuite. Comme dans une tragédie, la mort est au bout du chemin, au Pré-aux-Clercs,
lors d’un duel sans merci. Lequel des deux en sortira vivant ?
Dans un rythme soutenu digne des romans d’Alexandre Dumas, Jean-François Zimmermann restitue avec précision une période trouble
de l’Histoire de France, la Fronde, menée et combattue par des personnages hauts en couleur, d’une criante vérité.
- L'EST-ECLAIR
- HISTORIAGAMES
- La REVUE EULALIE
- Mes PROMENADES CULTURELLES
- Magazine LES GRANDES FIGURES DE L'HISTOIRE
- OUEST-FRANCE
- IMAGES DE MARCQ
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"Le mépris et la haine"
Prix du Roman de la ville de MORET-SUR-LOING
Grand Prix du Roman des Ateliers d'Art de SERVON
4ème de couverture :
Guy de Porcon est le fils du comte. Tanguy Cloarec est le fils du garde-chasse. D’un côté, la morgue, puis le mépris, de l’autre, la révolte, puis la haine.
« - Tanguy, il ne faut plus penser à Émilie. Je comprends ta souffrance. Je compatis et je t’envie. J’envie le temps de ta jeunesse, ce temps durant lequel nulle montagne ne paraît infranchissable. Et pourtant, les versants qui séparent nos deux mondes, le mien et le tien, le sont, infranchissables. Entre les serviteurs et leurs maîtres, ils existent depuis si longtemps ! Guy va épouser Émilie. Il ne la mérite pas, je te l’accorde, mais la tête a bien peu de place dans les choses de l’amour car celles-ci se logent du côté du cœur. Le notaire arrange ce genre d’affaires bien mieux que le cœur ne pourrait le faire. »
Avec « Le mépris et la haine », Jean-François Zimmermann signe son cinquième roman. Fidèle au XVIIème siècle dont il épouse la langue avec bonheur, il sait glisser habilement la fiction romanesque dans les plans inexplorés de l’Histoire en prenant garde de respecter celle-ci.
Une critique et parue sur le site BABELIO, bien connu des lecteurs, amis du livre et de la lecture :
BABELIO
... Et on en parle sur OUEST-FRANCE
... Et sur le Journal de VITRE
... Et sur LA VOIX DU NORD
... Et sur EULALIE
... Et sur ACTUALITTE
... Et sur DAILYNORD
... Et sur la Voix du Nord
... Et sur LES RDV DE VICTOR HUGO
... Et sur AU TEMPS LIRE
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Paru en février 2015
"Libertas" est mon quatrième roman. Dernier tome de la trilogie consacrée au "Crépuscule du Roi-Soleil", il est publié en février 2015 chez Airvey Editions.
Olivier de L’Aubertière rêve d’un monde meilleur, peint aux couleurs de l’équité et de l’amour et veut partir à la recherche de l’île de Libertas où devraient se concrétiser ses chimères.
Il va engager comme chirurgien Martin Lasalle, évadé des galères de Louis XIV auxquelles il a été condamné sur dénonciation de son frère Paul.
Ils vont se lancer dans une folle aventure qui emprunte à la mer son goût d’eau salée et aux luttes sans merci leur odeur de poudre, sillonner les mers de l’Océan Indien, résister aux terribles tempêtes et aux maladies, braver les pirates de Fort-Dauphin, combattre la flotte du Grand Moghol.
Vaincre et convaincre. En combattant leurs ennemis par les armes et en séduisant les indécis par les mots, ils gagnent à leur cause des centaines de marins, las eux aussi des injustices dont ils sont victimes.
Ils vont aussi devoir composer avec leurs doutes et leurs hésitations et affronter la fourberie de Paul, manipulé par Francisco Feyo, un être cupide et cruel.
Trouveront-ils cette île, ce havre de paix où ils pourront édifier leur république libre, juste et égalitaire ?
Récit haletant où s’opposent la haine et l’amour, Libertas est le dernier volet de la trilogie du Crépuscule du Roi-Soleil, commencée avec L’apothicaire de la rue de Grenelle et poursuivie avec La Rivière d’or.
... On en parle sur Babelio
... et sur le Café Litteraire
... et sur le Furet du Nord
... et bientôt au cinéma
... et sur Lecteur.com
... et sur La Voix du Nord
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La Rivière d'or
Présélectionné pour le Grand Prix du roman des écrivains bretons
Mon troisième roman, "La Rivière d'or", s'incrit dans une trilogie intitulée "Le crépuscule du Roi-Soleil" dont il constitue le deuxième tome. Il fait suite à "L'apothicaire de la rue de Grenelle".
Réédité en mars 2017 chez AIRVEY EDITION
Cet ouvrage est une suite de «L’apothicaire de la rue de Grenelle», paru aux Éditions du Bord du Lot, en 2011 et qui avait obtenu le Prix du Roman des Écrivains bretons.
Il peut être lu indépendamment du précédent.
L’histoire, qui se déroule à la fin du XVII e siècle, se situe pour partie en France, pour partie en Hollande, et pour partie aux Indes Orientales.
Elle met en scène trois frères que tout oppose. Martin, médecin, condamné aux galères pour fait de religion – il est protestant – s’enfuit en Hollande. Simon, chirurgien attaché au service du roi, catholique converti, demeure à Versailles. Paul, clerc de peu de foi, est plus attiré par les femmes et le jeu que par l’exercice de son ministère.
Tous trois ont de bonnes raisons de se détester et de haïr le Roi-Soleil.
Rien ne dispose ces trois destins, que la vie a séparés, à se croiser de nouveau.
Et pourtant, les trois frères vont se retrouver, après bien des péripéties aussi aventureuses qu’inattendues, à bord du même vaisseau, quelque part dans l’Océan Indien.
Le crépuscule du Roi-Soleil est proche. Cette lente agonie sera-t-elle facteur de rapprochement de la fratrie?
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Mon deuxième roman, "L'apothicaire de la rue de Grenelle" a été édité par Marcel GILLET, aux Editions du Bord du Lot, en février 2011.
Réédité en 2016 par Hervé MINEUR chez AIRVEY EDITIONS, il est désormais disponible chez celui-ci :
Nous sommes à Paris, au XVIIème siècle, quelques années avant la révocation de l’Edit de Nantes.
Alexandre Lasalle, médecin et apothicaire, est sans illusion sur l’efficacité de la médecine enseignée par la Faculté : « le bon remède est celui qui ne cause aucun tort au malade », dit-il. Son humanisme l’amènera à pratiquer l’alchimie - cet art qui commerce avec le diable – pour découvrir l’or potable, le remède universel. Il entraînera ses proches dans cette quête illusoire. Son appartenance à la Religion Réformée bouleversera sa vie. Il sera mêlé à des intrigues menaçant la sécurité du royaume et connaîtra les geôles de la Bastille. Martin, son fils, bouillant et intrépide duelliste, sera injustement condamné aux galères, où il fera l’apprentissage de la violence. Il ne survivra que pour satisfaire à son appétit de vengeance.
Sur le canevas de ce Paris cruel et inquiétant, aux rues grouillantes où se croisent misère et opulence, et que l’auteur fait revivre d’une plume colorée, se tisse le destin de cette attachante famille, marqué par l’amour et la haine.
Il a fait l'objet de nombreuses distinctions :
Grand Prix du Roman des Ecrivains Bretons,
décerné par l'association des écrivains bretons.
Second Prix de L'Albatros au 14ème Concours International de Littérature "REGARDS"
Second Prix du Roman aux Ateliers d'Arts de Servon/Vilaine
Finaliste du Grand Prix littéraire de l'Académie nationale de Pharmacie
Finaliste du Prix du Roman Lions Club
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Mon premier roman, "De silence et d'ombre", a été rédigé entre 2007 et 2009. Le manuscrit a été distingué en 2011 par l'association des"Arts & Lettres de France" qui lui a attribué le Premier prix du roman 2011.
Une première fois édité en 2012, il a fait l'objet d'une réédition en septembre 2013 chez AIRVEY EDITIONS, à Valenciennes, sous le titre de "L'ombre de Dieu".
Thibaud, fils d’un obscur paysan des Bauges, fasciné par les livres, accède à la connaissance en toquant l’huis d’un monastère. Une vie qui paraissait réglée va être bouleversée par la découverte de l’amour terrestre. Défroqué et banni, en quête d’indulgences, il rejoindra la cohorte des pèlerins de la première croisade. Il découvrira Byzance, son peuple, son art de vivre, connaîtra le fracas des batailles.
« C’est en observant, au port de Théodose, un enfant occupé à faire naviguer un radeau en miniature, que s’imposent à mon esprit les images de mon passé. J’ai maintenant dépassé les trente années, peux-je prétendre avoir été maître de ma destinée ? Certes non. Je suis le jouet de qui, de quoi ? A quoi tout cela sert-il ? Tout cela a-t-il un sens ? »
A la fois grande fresque historique, quête spirituelle et roman d’aventures, ce récit, sans concession à la vérité historique, incite à la réflexion sur la grandeur de l’homme et aussi sur sa folie.
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